Souls Of The Past
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 Enchanté de te connaître, moi c'est Kurogane, et toi ? -de toute façon, tu te souviendras plus de moi ..-

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Kurogane Ritsu Ishii

Kurogane Ritsu Ishii


Messages : 59
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Enchanté de te connaître, moi c'est Kurogane, et toi ? -de toute façon, tu te souviendras plus de moi ..- Empty
MessageSujet: Enchanté de te connaître, moi c'est Kurogane, et toi ? -de toute façon, tu te souviendras plus de moi ..-   Enchanté de te connaître, moi c'est Kurogane, et toi ? -de toute façon, tu te souviendras plus de moi ..- Icon_minitimeJeu 21 Aoû - 20:26

[left]Ishii Kurogane


Enchanté de te connaître, moi c'est Kurogane, et toi ? -de toute façon, tu te souviendras plus de moi ..- BfhzNom ~ Ishii (on lui a donné un nom de famille étant donné qu'il n'a jamais été adopté, donc sans famille)

Prénom ~ Kurogane Ritsu

Surnom ~ Kuro – Ri' – etc.

Âge ~ Il a quinze ans. / dix - neuf ans

Date de naissance ~ Il est né le vingt – trois octobre.

Nationalité ~ Il est Japonais.

Orientation ~ Ehe. Homosexuel, même si l'exception existe.


Il était une fois ..

♪ Caractère ~ D'apparence et une fois seul, il fallait savoir que Kurogane était une personne totalement différente pour entretenir une image et ne pas avoir de problèmes. Son don était après tout quelque – chose de plutôt compliqué et il savait que si ça se passait mal, ça pouvait avoir des conséquences désastreuses sur ses proches.
Il était toujours souriant, affectueux et proche de ses amis quand on le voyait. Il faisait en sorte d'être entouré par le plus de monde possible, il essayait d'être une personne gentille, qui n'était pas un macho ou un dragueur de première comme toutes les autres personnes populaires qui pouvaient exister. Il était fidèle dans le sens où il ne se mettait personne dans son dos, gardait tous les secrets le plus longtemps qui soit et avait cette notion de sérieux. Il travaillait, il faisait son possible pour maintenir une bonne moyenne partout, il faisait toujours son possible pour ne pas décevoir les personnes qui l'aimaient. Car oui, ça lui permettait de s'encoruager mentalement même s'il savait qu'il allait ensuite être pardonné. C'était juste pour réussir qu'il continuait d'être ainsi. Il était prévoyant, apportait toujours plus, aidait toujours ceux qui voulaient juste une petite chose. C'était sa façon d'être, car, malgré son passé bien dûr, il faisait son possible pour ne pas à faire la même erreur que ses parents.
Il était bon en tout, sportif, bavard, gourmand. C'était le garçon parfait pour bien des gens.
Mais une fois seul, c'était totalement différent. Le regard vidé, il allait toujours à une vitesse lente jusqu'à son lit, épuisé mentalement comme physiquement de tous les efforts qu'il devait faire. Il peinait à rester ainsi durant toute une journée, à se forcer de sourire et de paraître heureux. Il était en même temps quelqu'un de sérieux comme immature, à s'énerver pour un rien. Il avait un comportement enfantin et faisait des caprices, enfin, il en faisait avant d'avoir eu ce don. C'était une personne très possessive et capricieuse qui ne supportait pas la moindre remarque à son égard. Il n'aimait pas qu'on puisse se permettre de l'insulter sans une once de sympathie ou de pitié, sans même savoir le poids que pouvaient avoir certains mots sur lui. Il était encore dans un esprit d'enfant, il ne l'avait jamais quitté. C'était comme s'il ne pouvait pas grandir mentalement tant qu'il n'avait pas pu découvrir le vrai amour. Il était égoïste, il ne pensait qu'à lui, il faisait toujours les choses pour soi puis pour les autres. C'était une personne tout à fait détestable en réalité.
Il était sensible, il avait énormément du mal avec ce qui pouvait le rendre triste. Il pleurait souvent pour un rien, par excès de rage, par fatigue, par joie, il pleurait toujours pour un rien. Mais tout ça, c'était comme s'il le cachait, le faisait disparaître au plus profond de lui même pour que personne ne le voit ainsi.

♪ Physique ~ Des rires se faisant entendre dans le couloir, on pouvait voir un groupe de filles entourer celui qui attirait le regard de chaque personne qui passait. Un garçon, pas grand, pas petit, marchait en souriant et en parlant tranquillement de ce qui pouvait les intéresser. Ce garçon dépassait les filles de peu, au vu de ses origines japonaises et d'un problème de croissance étant petit, il faisait tout juste un mètre soixante – trois, étant donc un peu plus grand que la moyenne japonaise. Comparé aux étrangers, il était vrai qu'il se sentait petit, mais il avait pu grandir avec pas mal d'aide médicales par le temps. Le sourire aux lèvres, il avait une voix légèrement grave avec une faible résonnance, les filles disant souvent qu'elle était « Kawaiii ! ». Il avait une apparence assez originale pour un étudiant japonais, ses cheveux avaient une couleur grise – argentée, brillant au soleil avec des reflets bleus pâles de temps à autres. Coiffés à l'arrache, il faisait attention à paraître malgré tout attirant à sa façon et, de toute manière, se voyait souvent décoiffé par un de ses amis qui passait son temps avec lui dès qu'ils se voyaient. Et seulement à ces moments – là. Il le savait, mais il laissait faire puisqu'il en comprenait la raison. Des mèches de cheveux retombant sur ses yeux, il avait tendance à les coiffer de sorte à en dissimuler un, ou du moins, empêcher qu'on s'y attarde trop. Ses yeux étaient tous deux dans une même teinte, du moins, dans une teinte ressemblante. Un  de ses yeux était d'un gris un peu plus foncé que ses cheveux et l'autre était doré aux reflets gris. Il n'aimait pas ses yeux mais ne voulait pas se rendre aveugle d'un œil juste pour ça. Il laissait faire même s'il faisait en sorte qu'on ne le voit pas. Quand on le voyait pour la première fois, on avait toujours cette impression que ses yeux étaient éteints, vidés d'émotions, mais on prenait tellement l'habitude de le voir ainsi qu'on finissait par arrêter de s'inquiéter pour lui. Après tout, il était toujours souriant, il avait toujours bonne mine et paraissait être en bonne santé.
Il avait une peau pâle mais rosée, douce au toucher, il n'avait aucune imperfection. Son dos, qui avait auparavant quelques très fines cicatrices était désormais sans problème. Comme par miracle. Il était le garçon parfait selon les filles, et on avait beau lui conseiller de participer à un concours de popularité, il refusait à chaque fois sous la déception de ses groupies. Il était mince, ayant de fins traits enfantins toujours présents sur son visage. Il n'était pas adulte, il était loin de cette apparence adulte que d'autres avaient. Et pourtant, il restait là, sans changer, en regardant son entourage grandir, s'embellir. Il n'avait pas de tatouage, il n'avait pas non plus de tâche de naissance. Il était .. juste un garçon ordinaire si on retirait la couleur originale de ses cheveux et de ses yeux. Il s'habillait de façon classe, légèrement rock et avait toujours à peu près la même chose. Une chemise noire surmontée d'un veston avec quelques badges dessus, un jean, des baskets et des mitaines. Oui. Il avait ce style – là depuis un bon bout de temps, c'était comme si on l'avait toujours vu ainsi.

♪ Histoire ~ Dans une des villes modernes du Japon, l'on pouvait entendre des gémissements de douleurs sortir d'une des nombreuses maisons du quartier, un petit garçon se tenant, les mains sur le mur sans avoir le droit de bouger ou de se plaindre. C'était .. ce qui était normal pour lui. C'était sa façon de vivre. Et de toute façon, que pouvait – on faire face à l'autorité de ses parents ?
La lame du couteau se promenant sur la peau fragilisée du petit, elle laissait un fin filet de sang s'échapper des entailles peu profondes. Le garçon, quant à lui, se retenait le plus possible de pousser le moindre gémissement de peur que les voisins ne l'entendent et qu'il se fasse d'autant plus punir. Il souffrait déjà assez chaque jour, il ne voulait pas en rajouter. Tous les jours, sans exception, on lui infligeait ce calvaire, on le traitait comme s'il ne méritait pas de vivre, mais on le gardait en vie comme s'il n'avait pas le droit de mourir, qu'il fallait qu'il souffre, qu'il découvre à quel point il n'était pas désiré.
Né un soir d'Octobre d'une mère et d'un père assez jeunes, le petit, prénommé Kurogane Ritsu, était un enfant non désiré. Ses parents étaient beaucoup trop jeunes pour s'occuper de lui mais ils n'avaient pas pu réagir assez vite pour arrêter la grossesse. Une légère cassure dans le préservatif et c'était mort. Les deux parents avaient donc été abandonnés par les leurs, vivant seuls, se débrouillant tant bien que mal tandis que la future mère essayait d'amasser de l'argent là où elle le pouvait pour subvenir à ses besoins de plus en plus coûteux. Oh oui, cet enfant allait le payer durant toute sa vie, qu'importe son innocence, sa joie de vivre, ils allaient lui montrer à quel point il avait gâché leur vie. Que sa naissance n'allait apporter que malheur à son entourage.
Battu, frappé, engueulé, on lui répétait à chaque fois à quel point il était misérable, à quel point c'était un déchet. A force de vivre dans ces conditions, il ne grandissait pas assez vite, il y avait beaucoup trop de problèmes. Il ne pouvait grandir comme une personne de son âge. L'enfant qui n'avait rien demandé espérait, priait pour avoir de l'aide en silence, d'avoir une quelconque personne qui pouvait l'aimer, remplacer la présence de ses parents, pouvoir s'occuper de lui comme chaque personne de son école, redevenir une personne innocente. Mais rien ne se passait comme il avait pu le vouloir. Le garçon était moqué à l'école pour sa petite taille, pour les marques qui s'accumulaient chaque jours dans son dos, pour ne pas avoir une famille comme tout le monde. Tout lui manquait, tout ça parce – qu'il n'avait pas eu la chance d'avoir une famille aimante, des amis avec qui passer son temps, des jouets, des livres, des affaires qu'il avait choisi. Il voulait, il espérait toujours autant, mais Dieu avait décidé de l'ignorer, alors qu'il était celui qui en avait le plus besoin. A l'âge de ses huit ans, alors qu'il renrait chez lui de cet air habituel, lent, fatigué, déprimé, il découvrit bien vite en ouvrant la porte que l'endroit où il avait l'habitude de vivre, de dormir ou encore de mangé avait été vidé. Plus aucun meuble n'y était, plus une seule personne, plus rien. On l'avait juste abandonné, sans un mot, sans rien, même pas un petit signe.
Laissé à la rue, il attendait, encore et encore devant son ancienne maison, il patientait, il espérait un quelconque miracle. Quel miracle ? Qu'importe. Ses parents qui revenaient, un des garçons de son école, un professeur, un inconnu, il voulait juste qu'on l'aide. Pendant plusieurs jours, il attendait. Il n'avait jamais compris ce qu'il avait fait de mal depuis tout petit, il n'avait jamais touché à quoique ce soit .. si ?
Mourrant de faim et de soif dans la rue, alors que le petit Kurogane commençait à s'éteindre, un homme, pris de pitié et de compassion s'avança vers lui pour se mettre à sa hauteur. Il commença à lui parler, à le consoler, le réconforter avant de lui proposer de le suivre dans un établissement dont il était directeur. Un établissement où l'enfant d'à peine huit ans pourrait être logé, nourri et être éduqué. Du moins, c'est ce qu'il lui avait fait croire. A peine arrivé dans un des orphelinats que dirigeait l'homme qu'on commença à lui faire la misère. Le traitant de chouchou, de neuneu, de niais et de bien d'autres noms. Il allait donc souvent voir le directeur pour trouver un petit peu d'affection, de réconfort pour qu'on puisse l'aider, le consoler. Mais celui – ci, lassé de ses visites régulières commença alors à en profiter un peu. Il se contentait tout d'abord de le toucher un peu sans que le garçon ne s'en doute, puis il attendit, il attendit une année avant de commencer les choses un peu plus sérieuses. L'obligeant à se déshabiller face à l'homme, il fut bien vite sali, touché, impure. Il était violé, enfermé dans la chambre, la peau couverte de suçons et de griffures qui le faisaient souffrir à chaque fois pendant plusieurs jours de suite. Et c'était ainsi, une fois par semaine au minimum. Et plus le temps passait et plus il se sentait sali. Il allait réveiller l'homme, lui faire une gâterie, se montrer, le faire dans des endroits publiques. Il y croyait à peine. Il ne voulait pas y croire. Pourquoi tous les malheurs tombaient sur lui après tout ? Etait – il maudit au point d'être ainsi tout le reste de sa vie ?
Continuant donc à vivre ainsi, il fut abandonné à l'âge de douze ans par le directeur, lassé du garçon. Oui. Lassé. Il ne l'avait jamais aimé de toute façon, il avait juste besoin d'une personne pour satisfaire son manque donc il n'avait qu'à chercher une autre personne désormais. Maintenant qu'il était impure, il n'allait qu'à salir un nouveau qu'il avait pu aider. Oui. C'était bel et bien ce qu'il comptait faire jusqu'à sa mort. A croire qu'il n'avait aucun scrupule.
Ritsu, de son côté, était à la rue. A se demander qui allait bien vouloir recueillir un garçon couvert de suçon, comme prostitué dans la rue. Il se le demandait mh. Il avait perdu tout espoir, mais une chose le raccrochait à la vie, quelqu'un, quelque – chose lui disait qu'il allait un jour éprouver ce plaisir, cet attachement qu'il espérait tant mais qu'il n'avait toujours pas eu. Attendant dans la rue, il attendit encore une fois plusieurs jours, enroulé dans une couverture légère à cause de la fraicheur qui se faisait en ce début d'automne. Il attendait. Il avait de temps à autres un peu d'argent pour pouvoir s'acheter de quoi manger ou de quoi boire, mais rien de bien particuliers. Il voulait tant mourir, il voulait tant en finir avec cette vie infernale. Il voulait tant crever, fermer les yeux et ne plus jamais se réveiller. Il voulait être aimer, il voulait découvrir le bonheur que cela pouvait apporter, que cela donnait.
Fermant les yeux d'un air fatigué, il n'avait pas vu la femme qui s'approchait de lui d'un air curieux, attendant son réveil pour lui parler. Lui demandait s'il avait besoin d'aide. Que pouvait – il répondre ? Allait – il se faire moqué une nouvelle fois en changeant d'environnement ? Il avait le choix, rester dans cet endroit de misère ou espérer un meilleur futur en changeant. Encore une fois. Ce n'était pas comme s'il allait encore se faire violer .. si ? Prenant la main que lui tendait la femme, il se releva avec difficulté et la regarda d'un air vidé :

« Dis – moi, as – tu un souhait quelconque que tu aimerais voir réalisé ? »

« .. je … … j – je veux ê - être .. aimé .. »

Il avait honte, oui, honte d'avoir un vœu aussi banal. Il ne savait plus quoi faire. Passant donc s'inscrire au pensionnat sans se poser de questions, espérant juste pouvoir se reposer. Dès le premier jour admis, il se sentait seul, ignoré, mais il ne voulait pas ça. Il voulait pourtant être aimé, avoir par exemple ne serait – ce qu'une personne qui viendrait vers lui, lui dire bonjour, lui raconter ses problèmes journaliers. C'était ça, un ami non ? Il découvrir malheureusement son don dès les premiers jours, devenant extrêmement populaire, extrêmement aimé jusqu'à ne plus voir une seule personne éprouvant de la haine envers lui. Tout d'abord bien heureux, il découvrit ensuite qu'une fois parti, plus personne ne se souvenait de lui, plus personne ne semblait le chercher. Il était .. juste une personne populaire quand il passait. Dès qu'il prévoyait quelque – chose, il pouvait être certain que cette personne n'allait pas venir le voir puisqu'il ne se souvenait même pas de lui. Comment pouvait – il avoir eu un vœu aussi banal ? Aussi nul ? Qui l'empêchait de vivre comme avant ? Il n'avait jamais réussi à arrêter son don, l'empêcher d'avoir un seul ennemi, de pouvoir recommencer à zéro. Mais jamais ça n'était arrivé. Il était allé jusqu'au point de se créer une façade, une bulle dans laquelle il cachait tout ce qu'il pouvait éprouver. Il ne pouvait pas laisser échapper quoique ce soit. Il n'avait plus qu'à vivre avec ce calvaire toute sa vie après tout.

♪ Don ~ THE LOVEUH POWAAAH : A  partir du moment où il est dans le champ de vision ou dans la même pièce qu'une personne, cette personne devient obligatoirement la plus grosse fan du garçon. Le suivant partout en l'adorant, il y a malheureusement un défaut à ce don. Si cette personne connait le garçon grâce au don, elle l'oubliera dès qu'il ne sera plus dans le champ de vision ou dans le périmètre. Redevenant une personne ordinaire jusqu'à ce qu'il le voit encore.


Ses goûts

乄Passions ~ Il aime énormément jouer de la guitare électrique ou de la batterie.

乄Aime/N'aime pas ~ La musique – le silence – les chats / Les chiens – quand c'est trop bien rangé.

乄Allergie ~ Allergie aux poils de chiens.

乄Peur ~ Il a peur du noir complet.

乄Phobie ~ Aucune particulière. 


Vous

◎Prenom/Surnom ~ Watashi wa Aku no Shitsuji desu kara.

◎ Age ~ OujoSan, Shiteiru ? Lolicon desu :3

◎ Niveau au RP ~ Moyen '-'

◎ Comment avez vous découvert le forum ? ~  ALORS ! L’histoire nous parle du jeune Comte Ciel Phantomhive, un aristocrate anglais du XIXe siècle.
Âgé de 12 ans et ayant perdu ses parents dans un mystérieux incendie, il se voit devenir l’héritier de l’entreprise de jouets et friandises Phantom. Il habite dans un mystérieux manoir en compagnie de domestiques.
On apprend par la suite que son fidèle majordome nommé Sebastian est en fait un démon des enfers avec qui il aurait passé un pacte. En effet, selon le contrat, il lui aurait offert son âme en échange de sa protection jusqu’à l’accomplissement de sa vengeance. Le signe du pacte se trouve à son œil droit qu’il garde toujours caché sauf lorsqu’il a besoin de faire appel à son majordome protecteur.
C’est ainsi que Ciel et son majordome se mettent à résoudre différentes énigmes de meurtres et autres énigmes en général surnaturelles sur ordre de la reine Victoria du Royaume-Uni. Il est aussi très perspicace et sûr de lui (pour son âge) lorsqu’il s’agit de mener une enquête…
Néanmoins le mystère reste omniprésent dans la série. Pourquoi Ciel a-t-il donc passé un tel pacte ? Qu’est-il vraiment arrivé à ses parents ? Quel est donc le mystère pesant sur sa famille ?

◎ Autres ~Rien =D
 
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